vendredi 28 décembre 2012

La Jordanie - You are Welcome




   Lorsqu’on travere la frontière entre Israel et la Jordanie, on remarque vite une grande différence.  En Jordanie, on se sent au tiers-monde. C'est sale et désorganisé. Il n'y a pas beaucoup d'indications dans les rues. Il faut négocier tout. Cependant, je me sens bien car les arabes sont beaucoup plus chaleureux que les Juifs. Ici, je ne sens pas la tension qui existe en Israël. On rencontre des gens dans la rue et ils nous disent souvent « you are welcome » On se sent bien accueillis. En général, ils n’essaient pas tous de nous vendre toute sorte de choses qu’on n’a pas besoin. Les chauffeurs de taxi sont les plus fatiguant, mais, ils n’insistent pas trop lorsqu’on leur dit qu’on n’a pas besoin de taxi

 Amman est une très grande ville ou on trouve la moitié de la population de la Jordanie. Il n’y a pas grand-chose à visiter sauf le l’amphithéâtre et l’ancienne forteresse romaines. Comme je suis un peu saturé de ruines Romaines et Grecques, je passe mon tour pour ces ruines. Je vais plutôt visiter la ville qui n’a pas beaucoup d’attraits. Je vais visiter une grande mosquée qui semble très belle à l’extérieure, mais bien ordinaire à l’intérieur. Les mosquées sont, comme ça, très dénudées ; un grand tapis pour la prière et très peu  ou pas de décorations.

 Après 2 nuits à Amman, je pars en bus pour l’ancienne ville de Petra dont parlent tous les guides touristiques de la Jordanie. Je fini par passer 4 nuits à Petra. Je passe 2 jours à visiter le site archéologique de Petra. Après la première journée, j’ai la chance de rencontrer une couple de voyageurs français,   qui font le tour du monde. Nous passons une journée ensemble à visiter Petra. Pour ce qui est de Petra, je vous laisse voir les photos et vous pourrez en juger par vous-même. La dernière journée à Petra, je me promène dans la ville et rencontre les gens. Ils viennent souvent me parler lorsque je sors des circuits touristiques. Je « poigne » souvent assez bien avec les jeunes étudiantes de l’école primaire qui me font des sourires gênées. Quelquefois, les plus entreprenantes viennent me parler. Je dois faire attention car j’ai l’impression que je n’ai pas l’approbation des hommes autour qui me voient faire.

Lors de mon retour à Amman ou je dois prendre l’avion pour l’Inde, je fais la connaissance de Chang, un jeune retraité de 57 ans qui vient de Taiwan. Le lendemain, je pars pour l’Inde. Mon déguisement pour l’Inde est Impeccable et je pense y passer inaperçu. On verra dans le prochain feuilleton. Un Joyeux Noel à tous.




L'amphithéatre romain à Amman

Une grande mosquée à Amman

L'intérieur de la mosquée à Amman 
Je suis aller marcher dans le désert près de Petra 
Je voulais faire comme Indiana Jones

Lorsqu'on entra à Petra, on est frappé par les canyon qui creuse la montagne

Le trésor

La pierre est très colorée 
 Un temple funéraire
Deux enfants bédoins que j'ai rencontrés 
 On appelle cet endroit le monastère

Mon nouveau déguisement pour entrer en Inde. Je passe inaperçu. J'ai du faire changer ma photo de passeport quand même    





























































lundi 17 décembre 2012

Sur les traces de Jésus


La région du nord-est d’Israël est très spéciale pour la Chrétienté. C'est dans cette région que vivaient Joseph et Marie. Après son retour d’Égypte, Jésus a grandi dans cette région qu’on appelle la Galilée. Dans un rayon de 25 km de la présente ville de Tibérias, on retrouve Nazareth, Cana, Capharnaüm, le mont Timor et le lac de Tibériade (ou mer de Galilée). Une grande partie des événements de la vie de Jésus se sont passés en Galilée.

Selon la bible, sur la mer de Galilée, Jésus aurait fait une pêche miraculeuse, calmé la tempête et marché sur les eaux. Étant un « homme de peu de foi », j ne me suis pas risqué de marcher sur les eaux.  Je pense avoir plus de chance que ça réussisse sur le Lac St-Jean en hiver.

 Comme je ne pouvais pas suivre les traces de Jésus sur l’eau, j’ai décidé de suivre ses traces sur la terre. Je suis parti de Tibérias vers 10h30 un matin. J’ai commencé par monter sur les hauteurs qui surplombent la ville. Si je me souviens bien, Jésus aimait biens de grimper sur les montagnes. Il y faisait des sermons, et distribuait des pains, rencontrait Satan et jeunais pendant de longues périodes. En tout cas, arrivé sur le haut de la montagne, j’ai marché pendant plusieurs heures sur un sentier qu’on appelle « Jésus trail » Ce sentier qui relie Nazareth à Capharnaüm passe à travers des montagnes et des champs. On y trouve des pâturages, des plantations de bananes, oranges, pamplemousses et autres. J’ai rencontré peu de gens sur ce sentier et j’ai vite compris pourquoi. C’est la période pluvieuse dans la région et la terre est détrempée. Il fallait constamment faire attention pour me pas marcher dans des bouses de vache et de glisser dans des flaques d’eau. Donc, après 5 heures dans ce sentier, j’étais encore loin de Capharnaüm et j’ai décidé de prendre le bus pour retourner à Tibériade.

Le lendemain, je me suis rendu à Nazareth visiter les lieux de la jeunesse de Jésus. On peut y visiter plusieurs églises dont les plus populaires sont l’église de l’Annonciation, (où l’ange Gabriel aurait annoncé à Marie qu’elle allait avoir un enfant) et l’église de St-Joseph qui serait à l’endroit ou Joseph aurait eu sa « shop à bois » ou son atelier. Je me suis aussi promené dans la vielle ville ou habitent exclusivement des arabes (60% musulmans et 40% chrétiens) Je suis allé visiter une mosquée et un arabe musulman m’a raconté plein de choses intéressante sur la vie dans la vieille ville de Nazareth. La nouvelle ville est habitée par les juifs.

Ainsi finissait cette visite en Israël, pays déchiré par des tensions raciales, des injustices flagrantes et une cohabitation fragile. Après un peu plus d’une semaine dans ce pays, j’en sort avec une vision un peu floue. Le gouvernement présent ne semble vraiment pas vouloir régler le conflit en continuant la construction de nouvelles installations en territoire contesté. D’un autre côté, les radicaux palestiniens n’aident pas la cause en continuant à lance des missiles vers Israël. Ceci donne une certaine justification aux autorités d’Israël de répliquer et de continuer leur politique agressive. Une élection s’en vient en janvier. En parlant à plusieurs Juifs qui veulent la paix, ceux-ci ne gardent pas beaucoup d’espoir que l’élection va apporter les changements de direction qu’ils espèrent.

Mercredi le 12 décembre, je passe la frontière de Jordanie en compagnie d’un jeune dentiste arabe chrétien qui habite Nazareth. J’ai parlé à plein de gens autant juifs ou arabes durant mon séjour en Israël. Je pense que les gens ont besoin de s’exprimer. Je dois passer une semaine en Jordanie. Je vous en parle dans mon prochain feuilleton

Une barque pour les pélerins sur la Mer de Galilée 

 Une montagne percée de grottes près de la "Jesus Trail"
 On cultive des pamplemousses le long de la "Jesus Trail"
 Des fleurs le long de la "Jesus Trail"

Une "shop à bois" à Nazareth. (C'était peut-être là que travaillait St-Joseph) 

Une rue du vieux Nazareth 

L'église de l'Annonciation à Nazareth 

La chapelle sous l'église de l'Annonciation (ou l'ange Gabriel serait apparu à Marie)

Une mosquée à Nazareth

Le Jourdain. Il n'est pas bien large (Un peu plus large que le "ruisseau à Basile") 

Mon déguisement pour aller en Jordanie (Je suis à la gauche avec la bourse)

dimanche 9 décembre 2012

Escale en Israel


Il est 16h30 et j’attends patiemment un autobus assis sur un banc près de la route qui relie Jérusalem à Eilat en Israël. Oui, je suis arrivé en Israël depuis dimanche après-midi. Là, je suis à me demander qu’est-ce que je pourrais bien vous écrire d’original en mettant mon blog à jour.  Je ne voudrais pas vous ennuyer avec des visites de ruines archéologiques grecques, romaines ou juives. Ou même vous raconter mes visites de différentes villes.

Je vais commencer par vous raconter pourquoi, et comment je me retrouve ici en plein désert, entre la mer Morte et la montagne en regardant les autos passer. Voilà environ 3 semaines, en regardant comment j’allais me rendre en Inde à partir de l’Europe, j’ai remarqué que plusieurs vols qui partaient d’Athènes faisaient escale à Amman en Jordanie. J’ai exploré la possibilité d’arrêter quelques jours en Jordanie pour visiter un peu. Plus tard, je me suis aperçu que je pouvais même passer par Tel Aviv et traverser vers la Jordanie par la route et prendre un vol pour l’inde à partir d’Amman.  Alors, je me suis acheté un billet aller-simple d’Athènes à Tel Aviv. Cette fois-ci, j’ai bien confirmé que tout était bien en ordre et qu’on n’allait pas annuler ma réservation quelques jours avant de partir comme c’était arrivé à Barcelone. Je déteste voyager par avion!!

Le jour de mon départ, j’arrive à l’aéroport d’Athènes vers 08h00 soit 2 heures et demi avant mon vol.  Arrivé au comptoir, la fille me demande pour mon billet de retour d’Israel. Je lui dit que je n’en ait pas et que je planifie de sortir d’Israel par voie terrestre en direction de la Jordanie. Elle me dit que je dois absolument fournir une preuve, soit un billet d’avion, de bus, bateau ou de train qui confirmerais mon intention de sortir d’Israel C’est une exigence du service d’immigration d’Israel. (Comme si je pourrais avoir l’intention d’immigrer à Israel) Heureusement, il y a le Wi-Fi dans l’aéroport et je réussi à me trouver un billet d’avion de Tel Aviv à Istanbul pour pas cher. Avec ça je peu embarquer sur mon vol.

Alors, je vais vous résumer rapidement une partie de mes activités depuis Delphi. Dans le bus qui nous mène à Athène, je m’assois avec un vieillard qui est tout enchanté de me parler en anglais. Il me dit qu’il a 95 ans et qu’il s’est battu contre les Allemands en 1940. Il veut absolument me payer un café lors d’une petite escale. Un autre exemple de l’hospitalité Grecque.
 Arrivé à Athènes, Je rencontre Roberto un Espagnol qui m’offre gentiment d’embarquer avec lui dans son auto de location.  Nous partons le lendemain et visitons des sites archéologiques à Eleusis, Corinth, Epidaure pour finalement passer la nuit à Navplion. Dans cette belle petite ville, il y a une forteresse sur une colline qui surplombe la ville. Le lendemain, il nous faut absolument aller visiter cette forteresse. Magnifique vue de la ville.  Ensuite, nous allons visiter Mycèna, ou, selon la légende,  on aurait enlevé Hélène de Troie. Après cette visite, Roberto me dépose à Argos, petite ville où il y a une forteresse sur une colline qui surplombe la ville. Arrivé là, il me faut absolument aller conquérir cette forteresse. La forteresse est défendue par des tortues géantes qui patrouillent constamment la colline.

Après 2 jours de siège, la forteresse capitule et je peux donc retourner à Athènes où je me déguise en touriste pour la visite classique de l’Acropolis et des vestiges du berceau de la civilisation occidentale. Très impressionnant!!

Arrivé à Tel Aviv, je me déguise en espion pour aller recueillir de l’information stratégique dans les quartiers Islamiques et Chrétiens Arabes de l’ancienne ville de Jaffa. Après 2 jours à Tel Aviv, je prends le train pour Jérusalem pour une visite rapide de trois jours. Là, je dois constamment changer mon déguisement. Je commence comme un pèlerin qui vient visiter les lieux saint, puis, je prends mon costume de reporter pour interroger les gens des deux camps Palestiniens et Juifs. Je reprends mes hardes d’espion pour aller visiter Bethleem situé en territoire Palestinien. Enfin, je prends un déguisement de trekker pour conduire l’assaut de l’ancienne forteresse juive de Masada. La conquête de cette forteresse terminée, je redescends tranquillement un sentier de montagne pour me retrouver sur un banc au bord de la route en attendant le bus.

Ainsi, je vous ai raconté mes visites de villes, sites archéologiques et religieux contrairement à ce que je vous avais promis. Je m’en vais à Haifa et Thibérias ou je vais tenter de marcher sur les eaux et de faire une pêche miraculeuse sur la mer de Galilée. (Lac de Thibériade)

Coucher de soleil sur Athènes 

 Devant le canal qui separe la Péloponèse de la Grèce continentale. Creusé au 19e siècle
 Un tombeau à Mycena

Avec mon ami Roberto qui vient d'Espagne


 La forteresse d'Argos

L'accès à la forteresse est défendue par des tortues géantes qui patrouillent la colline 

Un temple sur l'Accrpolis



Des ruines à Athène avec l'Accropolis en arrière-plan 

Un temple bien conservé près de l'Accropolis
Moi, sous mon déguisement pour aller visiter le Mur des Lamantations à Jérusalem 

Le Mur des Lamentations à Jérusalem

 La grande mosquée à Jérusalem. Ils ne m'ont pas permis d'entrer, malgré que je leur disais que j'étais un bon musulman arabe. (Ils ne me croyaient pas, Je ne comprends pas)

Ayant appris ma leçon avec la grande mosquée, je me suis déguisé en arabe pour aller espioner Bethleem situé dans les territoires palestinien


Encore moi, cette fois-ci avec mon déguisement de pélerin qui allait visiter les lieux saints de Jérusalem. Vous ne me reconnaissez pas hein!

 La mer Morte, vue de la forteresse de Masada

La forteresse de Masada est située sur cette montagne

Et me voilà sur le banc près de la route en attendant le bus qui me ramène à Jérusalem

mardi 4 décembre 2012

Meteora – Dolomites et monastères


Je me suis rendu à Kalambaka grâce à une carte postale. Kalambaka est une petite ville touristique située au milieu de la Grèce continentale. Je n’avais jamais entendu parler de cette ville qui est un endroit protégé pas l’UNESCO. Rien d’anormal, puisqu’il y a plein de sites protégés par l’UNESCO en Grèce.

Voilà quelques années, (beaucoup d’années pour certains) j’ai vu un film de James Bond avec Roger Moore, où James devais  poursuivre un méchant Russe qui se cachait dans un monastère perché sur un immense rocher en forme de dolomite. J’ai appris que l’endroit où on avait filmé cette scène était en Grèce et je m’étais promis d’aller visiter cet endroit un jour. Avec les années qui ont passées, j’avais presque oublié celà. En regardant des cartes postales, à Thessalonika, je tombe sur une carte postale ou il y avait un monastère sur un rocher. Ça m’a tout de suite rappelé la scène avec l’agent 007.  Sur la carte, il y avait l’inscription « METEORA ». Après quelques recherches, j’ai réussi à situer l’endroit qui était, selon la carte, près de la ville de Kalambaka.

Le 21 novembre, je pars de la ville de Katerini dans la pluie pour me rendre à Kalambaka. Après un train, deux bus et 5 km à pied, j’arrive à Kalambaka vers 18h00. C’est nuageux et il fait  nuit. La petite ville me semble sympathique, mais tout semble mort car nous sommes en basse saison. Le proprio de l’hôtel me donne une petite carte pour me rendre à Meteora. Il me dit que je peux marcher ou prendre un taxi pour me rendre aux monastères. Je sais qu’il y a plusieurs monastères, mais je ne sais pas trop à quoi m’attendre.

Le lendemain, je me lève et il fait soleil. En regardant, par la fenêtre, je suis ébloui pas le spectacle qui s’offre à mes yeux. Il y a un énorme rocher percé de trous, situé aux abords de la ville. Je m’aperçois que le coté nord de la ville est bordé de ces gros rochers qui montent à la verticale sur quelques centaine de mètres. Je suis enchanté de par cet emplacement féerique.

Après un petit déjeuner rapide, je pars à la découverte. Au début, je marche sur la route asphalté qui sillonne parmis les dolomites. Après, un peu de temps, je dois aller voir ces rochers de plus près et je quitte la route pour prendre des petits sentiers qui mènent un peu partout dans la nature. Là, je suis vraiment dans mon élément et je « trippe ». Je vois des monastères encastrés dans la muraille, des étables de chèvres, dans des grottes et toujours ce spectacles incroyable qui remplis ma vue. Un des sentiers mène à un col ou un énorme menhir, oublié par Obélix lorsqu’il était venu aux jeux Olympiques, semble en équilibre précaire. Tout ceci dans un paysage d’automne avec les arbres en couleur. De l’autre côté du col, je peux voir le bord de la ville avec les maisons aux toits couverts de tuiles orangées. Je décide de me rendre de ce coté de la ville. Après une dizaine de minutes, le sentier disparait car la pente est très abrupte. Je décide de suivre un petit ruisseau qui cascade sur les rochers. La descente devient de plus en plus abrupte et je dois utiliser tous mes talents de grimpeur pour réussir à descendre de façon sécuritaire jusqu'à la ville.

Aux abords de la ville, je découvre un joli petit sentier qui mène à un monastère situé sur le sommet d’une dolomite. Une très paisible balade qui me mène à la porte  du monastère malheureusement fermé le jeudi. La vue est quand même splendide. Un peu plus loin, un autre monastère est également fermé. Il me faut me rendre à 4 monastères avant d’en trouver un  qui est ouvert. Je pense que c’est un des plus beaux. On y accède par un escalier qui contourne une partie du rocher. Il y a aussi un élévateur rustique et un vieux téléphérique qui transporte les approvisionnements. La visite de ce monastère construit au 13e siècle est vraiment intéressante. Au musée, il y a des livres écrits à la main par des moines. Certains datent du 9e siècle. La vue qui s’offre à nous est époustouflante. À quelques centaines de mètres, il y a un autre monastère perché sur un autre rocher.  Au retour, je prends un petit sentier dont les moines devaient utiliser avant que l’on construise le chemin.  Je retourne à l’hôtel complètement épuisé, mais tellement enchanté par cette journée passée à marcher dans ces endroits féeriques.

Le lendemain, je me rends à Delphi qui est un site archéologique situé dans un endroit montagneux sublime. Après la visite du site qui prend quelques heures, je me retrouve dans la montagne avec mes amies les chèvres.  Durant un de ces trek avec les chèvres, je suis complètement désorienté car les nuages ont soudainement envahi la montagne et la soleil et les autres sommets disparaissent. Je réussi à me retrouvé à environ 2 km de l’endroit ou je pensais me trouver. Après 2 jours de trek, je pars pour Athènes.

Vue de ma chambre d'hôtel le matin après mon arrivée à Kalambaka

Un monastère incrustré dans la paroi rocheuse

Les rochers qui bordent la ville de Kalambaka

Le" menhir d'Obélix"

Le sentier qui mène aux monastères

Première vue sur un des monastère de Météora




Un autre monastère

Comment ont-ils fait pour construire ces monastères?

Vue des rochers qui cotoyent la ville de Kalambaka

L'amphithéatre de Delphi

Des lierres sont magnifiques à cette période de l'année

Apreçu du paysage près de Delphi

Vue de Delphi à partir d'un rocher qui surplombe le site

Une chèvre domestique

 Dans la montagne, je me sens bien